Les casques camouflés : la théorie
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Les casques camouflés : la théorie
Aspect Historique :
Les Stahlhelm camouflés apparaissent officiellement à partir d' aout 1918. Néanmoins de rare modèle camouflé aurait existé à titre individuel avant cette date (1 photo connue).
Donc tous les types de Stahlhelm sont susceptibles d'être camouflés.
Type 16, Type16/17 et type 18 et 18 à échancrure (aucune photographie d'époque connue).
Premier conclusion : Il peut donc y avoir de la rouille sous le camouflage d'un casque. Mais cette dernière fragilisant la couche de peinture de camouflage, elle a tendance à en provoquer le décollement. Si le casque présentent un aspect rouillé dessous sans aucun manque, il s'agit d'une copie.
deuxième point historique : de la peinture :
Vers les années 1900 , les peintures anciennes anciennes en pot sont généralement a base d'huile (lin ou œillet avec comme accélérateur de prise la céruse de plomb ou le minium de plomb) ou de caséine (protéine du lait) et autre ou de résine naturelle type balsamiques (issue du pin), propolis (résine de bourgeon d'arbre); ces peinture sont plus fragiles que les peintures actuelles.
Les produits sont appliqués à la brosse, les temps de séchage sont longs : c'est la réaction d'oxydoréduction des huiles siccatives.
Vers 1920, mise au point des résines cellulosiques (pour éponger les stockes de nitro-cellulose servant à la fabrication des explosifs en sur-stocke depuis novembre 1918) . Création du pistolet à peinture pour appliquer ces produits.
Les Peintures cellulosiques : la formation du film est réalisée par évaporation des solvants. Ce sont des résines thermoplastiques. L'application est réalisée par pulvérisation en plusieurs couches, avec ponçage entre les couches et lustrage final.
Parallèlement au peinture liquide la société Fermob, fabricant de meuble de jardin en fer développe la première peinture polyester à cuire dont la principal qualité est la résistance au frottement et à la rouille. C'est se type de peinture qui est utilisée sur les casque Adrian et les Stahlhelm.
tout cela pour arriver sur :
On à donc une peinture fragile sur une peinture très résistante, ceci implique que le camouflage est très fragile. En 1920, il apparait des peintures cellulosiques que l'on retrouve sur les casques allemands WW2, sur lesquels le camouflage est plus pérenne. Donc ne vous basez pas sur des casques WW2 pour les comparaisons d'aspects.
troisième point : l'usure d'un casque :
Usure de la peinture cuite : Cette dernière est extrêmement résistante, même à la plus part des décapants (c'est ce qui permet de récupérer des casques au décapant pour four. Attention pour les peintures nitrocellulosiques....), donc l'usure observée sur les casques en peinture cuite s'obtient de manière plus rapide et plus marqué sur le camouflage.
Les soldats posent leurs casques généralement de tel façon à ne pas salir la coiffe donc à l'envers. Dans les tranchées le substrat est rugueux, le haut du casque s'use donc. Idem dans les Abris dans lesquelles le soldats usent sont casques contre les plafonds. Lors des bombardement le soldats se blottit comme les parois de la tranchée créant des usures sur le bord latéral du casque.
exemples d'usures :
Usure de la peinture de camouflage comme expliqué ci-dessus la peinture du camouflage est très fragile.
exemples de casque, ils sont classé du plus authentique au plus bidon :
avec un doute pour celui-ci.
le liant des peintures (huiles siccatives) s'oxyde et noirci avec le temps, les casques ternissent.
Et maintenant la galerie des horreurs :
Et pour conclure : Une petite histoire du stahlhelm en tant que pièce de collection...
La collection de militaria est à son origine une collection de prise de guerre et de trophée. Il ne devient qu'objet de militaria quand passant dans les miens d'un tierce n'ayant pas connu direcxtement le conflit.
Ils ont donc été ramené par des soldats français, anglais, russes et surtout américain. Pourquoi surtout américain, car ce sont les seuls combatants à n'avoir combattus sur leur continent (je ne dis pas pays car la guerre n'a jamais été portée sur le sol allemand). Ils ont pour essayer de faire partager leurs expériences à leurs proches, ramenés des souvenirs. Pour ce qui est des stahlhelm ont en trouve encore de nos jours au USA de nombreux portant encore des adresses postales et des timbres, ce qui prouve qu'ils ont été fortement expédier via la poste ( ce qui montre que certains étaient trop chargé pour le retour pour pouvoir tout prendre sur eux..).
Un deuxième élément à prendre en compte et aussi la grande mode de la peinture sur casque dans l' A.E.F. après le 11 Novembre 1918. A partir de cette date, les casque se couvrent des insignes divisionnaires et certains se camouflent.
Il est certain que les casques camouflés eussent sur les samy's le même attrait que sur les collectionneurs actuels. Les casques camouflés sont plus rares que les casques d'origine, le camouflage n'étant pas systématique (voir sur les photos du replis allemands en novembre 1918), voir plutôt une exception propres a certaines unités ou régiments. Donc objet rare et forte demande, il est donc fort probable que beaucoup de casques eussent été camouflés soit par des revendeur ou par des samy's dans l'immédiate après guerre. Ceci expliquerait en partie leurs forte sur représentation aux U.S.A (je vais lancer une statistiques sur les différents pays, pour vous chiffrer cela), ou on trouve des casques avec des cuirs d'époques et un camouflage rutilant sans aucunes rayures. A moins que les pinceaux eussent été ressortis plus récemment.
Les Stahlhelm camouflés apparaissent officiellement à partir d' aout 1918. Néanmoins de rare modèle camouflé aurait existé à titre individuel avant cette date (1 photo connue).
Donc tous les types de Stahlhelm sont susceptibles d'être camouflés.
Type 16, Type16/17 et type 18 et 18 à échancrure (aucune photographie d'époque connue).
Premier conclusion : Il peut donc y avoir de la rouille sous le camouflage d'un casque. Mais cette dernière fragilisant la couche de peinture de camouflage, elle a tendance à en provoquer le décollement. Si le casque présentent un aspect rouillé dessous sans aucun manque, il s'agit d'une copie.
deuxième point historique : de la peinture :
Vers les années 1900 , les peintures anciennes anciennes en pot sont généralement a base d'huile (lin ou œillet avec comme accélérateur de prise la céruse de plomb ou le minium de plomb) ou de caséine (protéine du lait) et autre ou de résine naturelle type balsamiques (issue du pin), propolis (résine de bourgeon d'arbre); ces peinture sont plus fragiles que les peintures actuelles.
Les produits sont appliqués à la brosse, les temps de séchage sont longs : c'est la réaction d'oxydoréduction des huiles siccatives.
Vers 1920, mise au point des résines cellulosiques (pour éponger les stockes de nitro-cellulose servant à la fabrication des explosifs en sur-stocke depuis novembre 1918) . Création du pistolet à peinture pour appliquer ces produits.
Les Peintures cellulosiques : la formation du film est réalisée par évaporation des solvants. Ce sont des résines thermoplastiques. L'application est réalisée par pulvérisation en plusieurs couches, avec ponçage entre les couches et lustrage final.
Parallèlement au peinture liquide la société Fermob, fabricant de meuble de jardin en fer développe la première peinture polyester à cuire dont la principal qualité est la résistance au frottement et à la rouille. C'est se type de peinture qui est utilisée sur les casque Adrian et les Stahlhelm.
tout cela pour arriver sur :
On à donc une peinture fragile sur une peinture très résistante, ceci implique que le camouflage est très fragile. En 1920, il apparait des peintures cellulosiques que l'on retrouve sur les casques allemands WW2, sur lesquels le camouflage est plus pérenne. Donc ne vous basez pas sur des casques WW2 pour les comparaisons d'aspects.
troisième point : l'usure d'un casque :
Usure de la peinture cuite : Cette dernière est extrêmement résistante, même à la plus part des décapants (c'est ce qui permet de récupérer des casques au décapant pour four. Attention pour les peintures nitrocellulosiques....), donc l'usure observée sur les casques en peinture cuite s'obtient de manière plus rapide et plus marqué sur le camouflage.
Les soldats posent leurs casques généralement de tel façon à ne pas salir la coiffe donc à l'envers. Dans les tranchées le substrat est rugueux, le haut du casque s'use donc. Idem dans les Abris dans lesquelles le soldats usent sont casques contre les plafonds. Lors des bombardement le soldats se blottit comme les parois de la tranchée créant des usures sur le bord latéral du casque.
exemples d'usures :
Usure de la peinture de camouflage comme expliqué ci-dessus la peinture du camouflage est très fragile.
exemples de casque, ils sont classé du plus authentique au plus bidon :
avec un doute pour celui-ci.
le liant des peintures (huiles siccatives) s'oxyde et noirci avec le temps, les casques ternissent.
Et maintenant la galerie des horreurs :
Et pour conclure : Une petite histoire du stahlhelm en tant que pièce de collection...
La collection de militaria est à son origine une collection de prise de guerre et de trophée. Il ne devient qu'objet de militaria quand passant dans les miens d'un tierce n'ayant pas connu direcxtement le conflit.
Ils ont donc été ramené par des soldats français, anglais, russes et surtout américain. Pourquoi surtout américain, car ce sont les seuls combatants à n'avoir combattus sur leur continent (je ne dis pas pays car la guerre n'a jamais été portée sur le sol allemand). Ils ont pour essayer de faire partager leurs expériences à leurs proches, ramenés des souvenirs. Pour ce qui est des stahlhelm ont en trouve encore de nos jours au USA de nombreux portant encore des adresses postales et des timbres, ce qui prouve qu'ils ont été fortement expédier via la poste ( ce qui montre que certains étaient trop chargé pour le retour pour pouvoir tout prendre sur eux..).
Un deuxième élément à prendre en compte et aussi la grande mode de la peinture sur casque dans l' A.E.F. après le 11 Novembre 1918. A partir de cette date, les casque se couvrent des insignes divisionnaires et certains se camouflent.
Il est certain que les casques camouflés eussent sur les samy's le même attrait que sur les collectionneurs actuels. Les casques camouflés sont plus rares que les casques d'origine, le camouflage n'étant pas systématique (voir sur les photos du replis allemands en novembre 1918), voir plutôt une exception propres a certaines unités ou régiments. Donc objet rare et forte demande, il est donc fort probable que beaucoup de casques eussent été camouflés soit par des revendeur ou par des samy's dans l'immédiate après guerre. Ceci expliquerait en partie leurs forte sur représentation aux U.S.A (je vais lancer une statistiques sur les différents pays, pour vous chiffrer cela), ou on trouve des casques avec des cuirs d'époques et un camouflage rutilant sans aucunes rayures. A moins que les pinceaux eussent été ressortis plus récemment.
Dernière édition par Admin le Lun 17 Nov - 11:18, édité 14 fois
Je ne suis plus seul au monde...
voici un casque invendu sur ebay.us.
et un comenntaire sur un forum US :
IMO the paint scheme is of the period. If I found this helmet (going be these photos) I would tend to beleive that it was doughboy painted or perhaps souvineer painted in the early post WWI period for tourist sales.
The colors used, paint texture and overall impression is not what I feel is right or at least typical on the actual WWI German camo painted examples that I have verified. In the end it is a judgement call.
my thé lor ise riche ??
une petite traduction s'impose.. mon anglais de cuisine est insufisant en gros il dit que la peinture est moderne??
chamarouche- Messages : 978
Points : 7076
Réputation : 10
Date d'inscription : 18/04/2010
My doctor is poor...
IMO le type de camouflage n'est pas de la période. Si je trouve ce casque (d'après les photos), je tends à penser qu'il s'agit d'un casque peint par un doughboy ou un casque peint comme souvenir pour les touristes dans l'immédiate après guerre.
La couleur, la texture de la peinture et l'impression général, n'est pas ce que je ressent comme authentique ou du moins en accord avec les derniers casque camouflé que j'ai authentifié. C'est mon jugement.
La couleur, la texture de la peinture et l'impression général, n'est pas ce que je ressent comme authentique ou du moins en accord avec les derniers casque camouflé que j'ai authentifié. C'est mon jugement.
Re: Les casques camouflés : la théorie
http://lagrandeguerre.cultureforum.net/photos-allemandes-f62/uhlans-stahl-camo-t31079.htm
Autres photos extraites du livre de JL Larcade "Troupes d'assaut allemandes", montrant bien la répétition du même motif sur tous les casques.
photographie datée du 25 avril 1917 (le camouflage existait déjà):
Autres photos extraites du livre de JL Larcade "Troupes d'assaut allemandes", montrant bien la répétition du même motif sur tous les casques.
photographie datée du 25 avril 1917 (le camouflage existait déjà):
directive n° 91 666 du 7 Juillet 1918 de grand quartier général
Extrait sur les casques :
"Une surface peinte avec une couleur (vert ou brun clair) ou avec les petites taches d'une variété de couleurs est supérieur à un casque coloré de la seul couleur standard, bien qu'il permette toujours la reconnaissance de la forme caractéristique et la silhouette du casque.
Dans cette optique, une surface colorée en trois couleurs avec des contact imbriqués, donnant un aspect mimétique, n'est plus identifiable à plus de 60 m.
Détail quant à la réalisation :
Des couleurs mattes : le casque ne doit pas briller. Le saupoudrage de la peinture à l'huile toujours humide avec le sable empêche la surface de scintiller au soleil.
Le choix des couleurs doit être harmonisé avec les saisons. Une des trois couleurs doit être la couleur la plus rencontrée dans la zone des combats.
Utilisable en cette saison : vert, Ocre, Brun rouille.
Le casque doit être peint en surface de même taille constituée de grandes et anguleuses surfaces.
Organisation : Sur le devant du casque, pas plus de 4 surfaces colorées doivent être visibles. Des couleurs sombres et claires doivent juxtaposées. Les surfaces colorées doivent être nettement séparées l'un de l'autre par une bande noir large d'un doigt.
La quantité nécessaire de peinture pour 1000 casques est de : 5 kilo de chaque de vert, ocre, et brun et 2 kilo de noire.".
Signé Ludendorf
"Une surface peinte avec une couleur (vert ou brun clair) ou avec les petites taches d'une variété de couleurs est supérieur à un casque coloré de la seul couleur standard, bien qu'il permette toujours la reconnaissance de la forme caractéristique et la silhouette du casque.
Dans cette optique, une surface colorée en trois couleurs avec des contact imbriqués, donnant un aspect mimétique, n'est plus identifiable à plus de 60 m.
Détail quant à la réalisation :
Des couleurs mattes : le casque ne doit pas briller. Le saupoudrage de la peinture à l'huile toujours humide avec le sable empêche la surface de scintiller au soleil.
Le choix des couleurs doit être harmonisé avec les saisons. Une des trois couleurs doit être la couleur la plus rencontrée dans la zone des combats.
Utilisable en cette saison : vert, Ocre, Brun rouille.
Le casque doit être peint en surface de même taille constituée de grandes et anguleuses surfaces.
Organisation : Sur le devant du casque, pas plus de 4 surfaces colorées doivent être visibles. Des couleurs sombres et claires doivent juxtaposées. Les surfaces colorées doivent être nettement séparées l'un de l'autre par une bande noir large d'un doigt.
La quantité nécessaire de peinture pour 1000 casques est de : 5 kilo de chaque de vert, ocre, et brun et 2 kilo de noire.".
Signé Ludendorf
Photo d'époque de casque de la garde.
Il s'agit du Comte von Eulenburg du 1. Garde-Regiment zu Fuß.
Vous remarquerez l'aspect très écaillé de son insigne peint sur le casque. Les peintures à l'huile de lin, c'est très fragiles. Et je pense que le Chef d'unité d'un régiment doit faire plus d'état major que de tranchée...
alors que penser des modèles avec un insigne superbe.....
Le lien vers la biblio du Major
http://www.erstes-garderegiment.de/Bilder/Bild%2046.htm
Re: Les casques camouflés : la théorie
Von Eulenburg a succédé à Von Bismarck, second Kommandeur,tué d'une balle en pleine tête par un tireur d'élite alors qu'il observait les tranchées, d'après l'historique de ce Regiment. Je l'ai passé au peigne fin, pour trouver une indication sur l'introduction de l'insigne, mais rien à ce sujet. Je pense que ce fut à l'occasion d'une des visites du Kaiser, mais rien de prouvé.
Le mien, provenance incontestable.
On remarque bien que les couleurs se sont assombries, et la dégradation de l'insigne, qui en laisse voir la structure : les parties noires étaient peintes sur fond blanc.
Le chiffre à l'arrière, au départ brun, a été surchargé de blanc, vraisemblablement au moment du camouflage.
Le mien, provenance incontestable.
On remarque bien que les couleurs se sont assombries, et la dégradation de l'insigne, qui en laisse voir la structure : les parties noires étaient peintes sur fond blanc.
Le chiffre à l'arrière, au départ brun, a été surchargé de blanc, vraisemblablement au moment du camouflage.
JR92- Messages : 153
Points : 5392
Réputation : 30
Date d'inscription : 18/04/2010
Age : 74
du kaiser, je pensais du Kronprinz.
Je donne la photo :
J'ai émis cette hypothèse sur un forum U.S., cela ne leur à pas trop fait plaisir....
ton casque est superbe, à vue d'œil pas de soucis.
A la différence de certain faiseur de vérité, il n'a pas du être acheté au USA en 2005....
J'ai émis cette hypothèse sur un forum U.S., cela ne leur à pas trop fait plaisir....
ton casque est superbe, à vue d'œil pas de soucis.
A la différence de certain faiseur de vérité, il n'a pas du être acheté au USA en 2005....
Re: Les casques camouflés : la théorie
Les deux furent très attentifs à ce Regiment. Quelques exemples, avec en effet à première relecture, "avantage au Kronprinz" :
Entre autres, après l'attribution du Stahlhelm :
Kronprinz le 10 Avril 1917,
Kaiser le 6 Juin près de Apremont
Kronprinz le 29 Octobre 17 (1er bataillon),
Kronprinz le 15 Mai 18 (ein zusammengestelltes Bataillon lors d'une parade)
Kaiser le 4 Juin 1918 (Arcy)
Etc...
L'affaire de cet insigne sur les casques me plait de plus en plus, c'est certainement un des plus beaux domaines de daubes qui puisse exister.
Cordialement,
P.S. :
Pour mémoire, de quelle hypothèse s'agit-il ?
Entre autres, après l'attribution du Stahlhelm :
Kronprinz le 10 Avril 1917,
Kaiser le 6 Juin près de Apremont
Kronprinz le 29 Octobre 17 (1er bataillon),
Kronprinz le 15 Mai 18 (ein zusammengestelltes Bataillon lors d'une parade)
Kaiser le 4 Juin 1918 (Arcy)
Etc...
L'affaire de cet insigne sur les casques me plait de plus en plus, c'est certainement un des plus beaux domaines de daubes qui puisse exister.
Cordialement,
P.S. :
J'ai émis cette hypothèse
Pour mémoire, de quelle hypothèse s'agit-il ?
JR92- Messages : 153
Points : 5392
Réputation : 30
Date d'inscription : 18/04/2010
Age : 74
Re: Les casques camouflés : la théorie
JR92 a écrit:
L'affaire de cet insigne sur les casques me plait de plus en plus, c'est certainement un des plus beaux domaines de daubes qui puisse exister.
Cordialement,
P.S. :
J'ai émis cette hypothèse
Pour mémoire, de quelle hypothèse s'agit-il ?
Que les insignes n'étaient peint que pour les cérémonies et pour les sections d'honneurs inspectées par le Kaiser ou le Kronprinz et que si on les retrouvait sur des photos de terrain cela était dû au faite que les soldats les gardaient en souvenir (devenant ainsi un insigne distinctif, puisque dans ces cas là se sont les plus méritants que l'on présente à la famille royal).
Mais certains préfère penser que c'est toute la division qui les porte.
Dernière édition par Admin le Lun 17 Nov - 11:24, édité 1 fois
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